Urgences : une campagne et des outils pour sensibiliser la population

Vous le savez, la population ne consomme pas toujours judicieusement les services d’urgence et de première ligne.

Bonne nouvelle, une campagne de sensibilisation est en cours afin de rappeler à la population :

  • ce qui est une urgence et ce qui ne l’est pas;
  • les différentes options qui s’offrent à elle en cas de problèmes de santé mineurs.

Urgenceoupas.ca

À ce sujet, une page Web d’information a récemment été créée : urgenceoupas.ca.

Celle-ci regroupe plusieurs trucs et astuces intéressants pour la population. Notez également qu’elle sera mise à jour plusieurs fois dans l’année afin de se « coller » à la réalité/aux enjeux du moment.

Faites circuler à vos patients, à votre famille ou à vos proches! Plus on en parle, plus les services seront utilisés efficacement.

Outils qui pourraient vous être utiles

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Restez à l’affût de nos différentes publications au cours des prochaines semaines!

La Covid ne prend pas de pause!

Saviez-vous que le moment où la contamination entre collègues est la plus élevée, c’est pendant les heures de repas, les pauses et le covoiturage? Voici quelques rappels importants!

Covoiturage

Il est important de respecter la distance de 2 mètres en tout temps, même à bord d’un véhicule. Il est donc recommandé d’éviter le covoiturage lorsque possible. Si toutefois vous êtes contraints de le faire, vous devez restreindre le nombre de personnes à 2 par véhicule; soit un conducteur et un passager à l’arrière. Le conducteur et le passager doivent procéder à l’hygiène des mains et porter le masque en tout temps dans le véhicule.

Lors des repas

  • Le personnel doit manger dans une salle dédiée, soit sur l’unité, à la cafétéria ou à l’extérieur, aucun employé ne peut dîner au poste;
  • Hygiène des mains à l’entrée dans la salle de repas;
  • Désinfection de la table avec solution désinfectante;
  • Respect de la distanciation sociale de 2 mètres.

Et après le repas? N’oubliez pas de remettre immédiatement votre masque pour poursuivre vos échanges avec vos collègues et ainsi limiter le temps d’exposition sans masque. 

Partage de nourriture

Aucun partage de nourriture n’est permis (boîte de muffins, beignes, chocolats, etc.), et ce même si c’est une occasion spéciale!

Manteaux et effets personnels

  • Réduisez vos effets personnels au strict minimum;
  • Entreposez vos effets personnels (manteaux, sacs, boîtes à lunch, sacs à main, etc.) dans un endroit dédié. Si vous avez un casier, vos effets personnels devraient s’y trouver le plus possible;
  • Ne partagez aucun effet personnel avec vos collègues;
  • Mettez votre uniforme en arrivant sur votre lieu de travail et retirez-le avant de sortir de l’installation.

Même vacciné, on continue nos bonnes habitudes!

Même si vous avez reçu le vaccin, il est essentiel de ne pas modifier vos bonnes habitudes et poursuivre les efforts tels que l’hygiène des mains, le port du masque, la distanciation, etc.

Pour en savoir plus : 

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Communiquez avec 
Sophie Sirois-Perras au 450 699-2425, poste 2438.

distanciation

Atténuation du délestage; un petit pas vers la normale…

En raison d’un volume important d’activités liées à la COVID-19 et considérant notre niveau d’alerte 4, notre établissement s’est vu dans l’obligation depuis quelques semaines de procéder à une réduction partielle et temporaire de certains soins et des services.

Comme la situation s’améliore légèrement, nous procédons à une atténuation graduelle du délestage. Il faut cependant comprendre que les examens diagnostics et cliniques sont malheureusement encore limités et un effort d’atténuation des impacts est fait.

Attention! Il ne faut pas crier victoire tout de suite. Plusieurs éléments viennent encore influencer la situation comme les absences du personnel liées à la COVID ou la venue des variants pour lesquels nous ne sommes pas à l’abri. La prudence est donc de mise et les mesures sont évaluées sur une base régulière puisque la situation peut évoluer d’un côté comme de l’autre. 

En voici quelques exemples :

CLSC

Les services des cliniques ambulatoires de soins infirmiers et des centres de prélèvements des CLSC reprendront graduellement leurs activités, selon certaines modalités. Les usagers nécessitant ce service peuvent se rendre sur le site Internet Clic Santé afin de s’inscrire. Compte tenu de la reprise graduelle, les plages peuvent être restreintes pour certains secteurs, mais de nouvelles disponibilités seront ajoutées en continu au cours des prochaines semaines.

Durant cette période de transition, nous allons également maintenir la ligne téléphonique spéciale. Ainsi, pour toutes demandes urgentes, les usagers peuvent encore prendre rendez-vous en téléphonant au numéro suivant : 1 833 699-2414, du lundi au vendredi, de 8 h à 16 h. 
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Réadaptation – clientèle DI, TSA, DP

Bien qu’aucun service n’ait été fermé, des interventions ont été mises en suspens, soit partiellement ou totalement. L’atténuation du délestage permettra une reprise des activités qui étaient diminuées, notamment pour desservir les usagers sur la liste d’attente d’un premier service. À noter que depuis le début de la pandémie, la situation de chaque usager est analysée dans une optique d’intégrité et de compromission permettant ainsi la prise en charge lorsque jugée nécessaire. La même analyse sera faite pour la reprise des activités en tentant de conserver un équilibre entre l’accessibilité et la continuité des services.
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Blocs opératoires 

En raison du délestage, nous avons dû reporter certaines chirurgies considérées comme non urgentes, ce qui a eu une incidence sur les listes d’attente. Ainsi, l’atténuation du délestage permettra d’augmenter l’offre de service en chirurgie. Il est toutefois important de préciser que malgré la situation de délestage, les cas urgents, semi-urgents ainsi que les chirurgies oncologiques ont toujours été maintenus. 
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Vaccination COVID-19 : plusieurs nouveautés et outils

Ce que vous devez savoir

Les médecins jouent un rôle essentiel en matière de promotion de la vaccination auprès de leurs patients. Une boîte à outils a donc été créée pour vous soutenir.

  • Plusieurs sites offre/offrirons la vaccination sur le territoire :
    • Candiac – ouverture le 14 janvier  : 30, rue Strasbourg;
    • Salaberry-de-Valleyfield – ouverture le 26 février : 50, rue Dufferin;
    • Municipalité d’Ormstown – ouverture le 19 mars : 87, rue Roy;
    • Vaudreuil-Dorion – ouverture le 11 mars  : 3093, boul. de la Gare;
    • Châteauguay – ouverture le 18 mars : 27, boul. Saint-Francis.

À celles-ci s’ajoutent des cliniques mobiles de vaccination qui se déplacent sur l’ensemble du territoire pour vacciner, à proximité, les usagers priorisés pour recevoir le vaccin.


Vaccination des travailleurs de la santé 

  • La vaccination des travailleurs de la santé se poursuit.
  • Le personnel et les médecins ciblés souhaitant se prévaloir du vaccin peuvent :
    • communiquez avec Mélanie Harbec au 450 455-6171, poste 70105 (omnipraticiens/GMF et cliniques privées);
    • communiquez avec Sophie Sirois-Perras au 450 699-2425, poste 2438 (autres médecins).

Début de la vaccination de masse : ce que vous devez savoir

  • La prise de rendez-vous est obligatoire.
  • La prise de rendez-vous en ligne est priorisée (pensons offrir du soutien à nos proches âgés).
  • Les personnes dans l’impossibilité de prendre rendez-vous en ligne peuvent appeler au 450 644-4545 ou au 1 877-644-4545 .
  • À compter du 25 février, les personnes de 85 ans et plus peuvent prendre rendez-vous pour obtenir leur vaccin contre la COVID-19.
  • La vaccination débutera le 11 mars pour ce groupe.

PSST : pour ne rien manquer de l’actualité entourant la vaccination, consultez régulièrement la page Vaccination contre la COVID-19.

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Le protocole de priorisation des soins intensifs : on s’y prépare…

La 2e vague semble montrer des signes d’essoufflement. Il s’agit d’une bonne nouvelle. Toutefois, nous devons être prêts si une recrudescence des cas et des hospitalisations survient. C’est dans cette optique que les différents travaux préparatoires se poursuivent en vue d’une éventuelle application du protocole de priorisation des soins intensifs, au besoin.

Ce que vous devez savoir sur le protocole

  • Il s’agit d’une mesure de dernier recours.
  • Seul le gouvernement peut activer le protocole. Il doit y avoir une saturation entre 150 % et 200 % de la capacité d’accueil des soins intensifs de l’ensemble du réseau (pas uniquement d’un établissement ou d’une région spécifique).
  • On s’y prépare… au cas où. Il y a plusieurs mesures qui sont prévues afin d’éviter d’en arriver là.
  • Le protocole concerne les adultes uniquement.
  • Son objectif : sauver le plus de vies possible! La priorisation repose en effet sur les chances de survies des patients. Des motifs discriminatoires (ex. : sexe, race, état civil, déficience, etc.), la « valeur sociale » d’un individu ou le jugement quant à sa qualité de vie n’influenceront d’aucune manière la priorisation.
  • Tous les patients obtiendront des soins. Les personnes qui ne pourront être admises aux soins intensifs continueront de recevoir les soins les plus appropriés à leur état.
  • Dans l’éventualité où le protocole devait être appliqué, des outils et du soutien seront disponibles pour le personnel et les médecins concernés ainsi que pour les usagers et leurs proches.

Où en sommes-nous?

  • Un comité de travail est responsable de coordonner les différents travaux de la phase préparatoire au protocole.
  • Un plan d’action a d’ailleurs été élaboré en ce sens. Celui-ci comprend notamment :
    • un volet communication;
    • les activités de préparation des médecins, des trios de priorisation ainsi que du personnel (incluant formation et simulations);
    • la mise sur pied d’une équipe de soutien éthique et psychologique pour le personnel et les usagers/proches.
  • Les membres des différents trios de priorisation ont été identifiés.

Constitués de 2 médecins et 1 clinicien éthicien, ils seront responsables d’évaluer (de manière objective et éthique) les demandes de soins intensifs en fonction du diagnostic et des paramètres cliniques établis par le protocole.

  • Les membres de l’équipe dédiée au soutien éthique et psychologique sont également connus.
  • La formation du personnel et des médecins concernés par le protocole débutera au cours des prochaines semaines.
  • Un comité central local, qui relève directement du CMDP, a également été créé. La première rencontre est prévue d’ici la fin février. Ce comité assurera une vigie en termes de qualité et de la cohérence de nos façons de faire (trajectoires, procédures, décisions, etc.), et ce, en lien avec les enlignements du ministère.

Pour en savoir plus sur le protocole : Le protocole de priorisation en bref.

Dossier santé Québec (DSQ) – Rappel aux utilisateurs

Vous êtes utilisateurs du DSQ? 

Il est important de vous rappeler l’importance d’en faire une utilisation appropriée, c’est-à-dire un usage circonscrit à des fins professionnelles et dans le respect des règles d’éthique et de confidentialité.

Le privilège accordé (selon la nature de votre fonction) pour la consultation des renseignements des patients dans le DSQ va de pair avec la responsabilité qui vous incombe d’en respecter l’usage. En effet, cette banque de renseignements confidentiels sur la santé doit être utilisée exclusivement dans un contexte de soins et pour les usagers du système de santé.

Résultats COVID-19

Nous remarquons actuellement que du personnel ayant accès au DSQ l’utilise pour consulter les résultats COVID-19 de leurs collègues. Cette pratique va à l’encontre des règles d’utilisation du DSQ. Sachez que l’organisation a mandaté le SSMÊT pour la divulgation des résultats de dépistage Covid-19 auprès du personnel. 

Des rappels sur l’utilisation du DSQ

Les utilisateurs ont l’obligation de protéger les renseignements auxquels ils accèdent. Aucune information personnelle sur un patient ne doit servir à d’autres fins que celles prévues. Les accès au DSQ ne peuvent être transférés à une autre personne. Ces accès sont personnalisés.

Sachez que le MSSS a mandaté la RAMQ pour la surveillance des accès non autorisés et que des suivis pourraient être effectués auprès des personnes concernées.

Politique sur la prise de photos, vidéos et enregistrements sonores par les usagers et les visiteurs

Personne ne veut être filmé à son insu. Il en va du droit à la vie privée et à la dignité. On doit aviser et obtenir le consentement des personnes que l’on prend en photo, en vidéo et même pour un enregistrement sonore.

Pour les intervenants et les médecins : Il existe une Politique sur la prise de photos, vidéos et enregistrement sonores par les usagers et les visiteurs qui vise entre autres à :

  • Permettre la prise d’enregistrements par les usagers lorsqu’une telle pratique est significative pour eux au plan affectif ou utile pour la bonne prestation de soins.  
  • S’assurer que vous puissiez exercer vos fonctions dans un contexte propice à favoriser :
    • les meilleures pratiques cliniques; 
    • le respect des droits des intervenants et des usagers; 
    • une communication et des relations saines avec les usagers et les visiteurs; 
    • l’établissement et le maintien d’un lien de confiance entre les usagers, les visiteurs et les intervenants; 
    • un climat de travail épanouissant.

En résumé

Vous avez le droit de demander à quoi va servir l’enregistrement et où il sera diffusé. Vous avez le choix de répondre ceci :

OUISi vous acceptez : vous pouvez donner votre consentement verbal ou donner votre consentement écrit en utilisant le formulaire joint à l’annexe de la politique. Il est bien important de vérifier le lieu où sera enregistré le contenu (corridor versus espace réservé aux soins, présence d’autres personnes? etc.)
OUI, MAIS…Vous avez le droit de faire un compromis : ex. : on peut me voir, mais seulement de dos ou de côté, etc.Remplir le formulaire joint à l’annexe de la politique pour s’assurer que les conditions sont respectées.   
NONVous avez le droit de refuser en expliquant le motif du refus. Si votre choix n’est pas respecté : Demander le soutien de votre supérieur immédiat;Exiger que soit arrêté l’enregistrement en cours; Remettre à la personne ayant effectué l’enregistrement une lettre, signée par vous ou votre gestionnaire, basée sur le modèle proposé à l’annexe 2 (Avis formel – Enregistrement vidéo ou prise de photographies non autorisé). 
Il ne me l’a pas demandé…Vous pouvez décider que c’est correct. Vous pouvez vous opposer et opter pour l’un des choix plus haut dans la case du NON.

Si le litige demeure : Soumettre une demande d’analyse au Service des affaires juridiques afin de connaître les recours possibles.

Dès le mois de mars, de la sensibilisation sera faite auprès des usagers et de leurs proches. 

Semaine de relâche et services de garde d’urgence – Vous y avez droit!

Saviez-vous que seuls les parents travaillant dans les services essentiels pourront envoyer leurs enfants dans les services de garde scolaires pendant la semaine de relâche du printemps?

Comment s’inscrire?

Du 19 au 28 février, les travailleurs essentiels pourront réserver leur place en service de garde en remplissant un formulaire d’inscription centralisé sur le site de Québec.ca.

Une éducatrice pour 10 enfants

Dans ces services de garde d’urgence, le ratio enfants-éducatrices est réduit à 1 éducatrice pour 10 enfants et le regroupement d’élèves au sein de groupes stables pendant la semaine de relâche sera permis.

Les mesures habituelles entourant la distanciation physique, l’hygiène et la salubrité, la désinfection et le port du couvre-visage ou des équipements de protection individuels continuent de s’appliquer.

« Ce n’est pas le temps d’organiser des activités avec d’autres familles; ce n’est pas le temps non plus de demander à ceux qui ont 65 ans et plus de garder les enfants. »

Premier ministre François Legault
ecole

Masque N-95 : précisions concernant les orientations du MSSS et questions-réponses

Mise à jour 25 février (ajout du questions-réponses)

Nous avons reçu les précisions suivantes sur l’application de la nouvelle norme de la CNESST en fonction des différentes missions des établissements et des milieux de soins s’y rattachant.

Toutefois, nous vous précisons qu’il s’agit d’un document de travail qui pourrait évoluer au cours des prochains jours. 

Tout d’abord, l’application des consignes sur le port du N-95 doit tenir compte de la disposition des cas dans l’environnement physique, notamment le regroupement de 2 cas COVID-19 confirmés et plus dans une zone considérée comme étant une zone chaude selon l’évaluation faite par l’équipe PCI. 

Cette zone peut être une aile, une unité, un étage et, dans des situations particulières, une installation ou un bâtiment au complet (ex : une maison, une RI de moins de 9 places, etc.)

Voici donc les orientations spécifiques du MSSS par milieux :

Missions/milieux Consignes pour le port du N95
Centre hospitalier (CH) sauf urgence 

CHSLD

Centre de réadaptation RI (plus de 9 places) 
Le N95 doit être porté dans une zone déterminée comme étant une zone chaude par l’équipe PCI (en présence de deux cas de COVID-19 confirmés et plus). 

Le N95 doit être porté également dans les zones communes déterminées comme étant une zone chaude par l’équipe PCI. 

Tout le personnel qui se trouve dans une zone chaude doit porter un N95 sauf le personnel qui ne prodigue pas des soins et de services,  (ex. : pour déposer des cabarets/chariots et sortir). Cela inclut  le personnel d’hygiène salubrité qui doivent le porter lors de la présence dans la chambre de l’usager.
Lors de la circulation dans les espaces communs froids, le N-95 n’est toutefois pas requis (exemple : corridor de circulation froid, poste infirmier froid).

Le port du N95 ne s’applique pas en présence de chambres isolées sur plusieurs étages. Dans ce cas, il est recommandé de regrouper les usagers afin d’éviter la présence ponctuelle de cas COVID-19 sur plusieurs ailes ou unités. 

Le port du N95 ne s’applique pas si présence de deux cas de COVID-19 et plus en attente de transfert (24-48h sur une aile/unité après un test positif) à moins que la zone soit considérée comme une zone chaude par l’équipe PCI.
UrgenceLe N95 doit être porté dans une zone déterminée comme étant une zone chaude par l’équipe PCI (lorsque cet aménagement peut être réalisé à l’urgence) et en présence de deux cas de COVID-19 confirmés.

Si présence de deux cas de COVID-19 et plus dans une zone de civières (espace non fermé) qui ne peuvent pas être regroupés dans une zone chaude, le port des N95 est requis dans toute cette zone pour tout le personnel sauf le personnel qui ne prodigue pas des soins et services (ex. : pour déposer des cabarets et sortir) 
Soins à domicile (SAD) RI-RTF (moins de 9 places)Le N95 doit être porté en présence de deux cas et plus de COVID-19 confirmés dans un lieu physique/environnement/ domicile (exemple : unité locative, appartement, maison, lors de la prestation de soins, de services de soutien ou d’assistance personnelle).
Clinique ambulatoire 

Cliniques désignées d’évaluation (CDE)

Cliniques médicales 
Ne s’applique pas. Exceptionnellement, ceci pourrait s’appliquer si déterminer comme étant une zone chaude par l’équipe PCI.
Résidence pour les personnes aînées (RPA)S’applique seulement dans une zone déterminée comme étant une zone chaude par l’équipe PCI et plus particulièrement sur les ailes/unités de soins lorsque celles-ci se retrouvent dans une installation.  

Le N95 doit être porté en présence de deux cas et plus de cas COVID-19 confirmés dans un lieu physique/environnement/ domicile (exemple : unité locative, appartement, maison, lors de la prestation de soins, de services de soutien ou d’assistance personnelle)

Notez qu’ à court terme, aucune pénurie n’est prévue.

Il est cependant difficile pour le moment d’évaluer la situation à plus long terme, car elle évoluera en fonction de la transmission communautaire et de la situation épidémiologique.

Nous avons un inventaire suffisant. Toutefois, afin de protéger notre niveau d’inventaire, il est important de commander la bonne quantité de masques pour une semaine et de ne pas prévoir une réserve excessive ou un surplus non justifié. Nous vous rappelons que, bien que nous n’ayons pas d’enjeux d’approvisionnement, il est important de faire en tout temps, à titre préventif et pour éviter le gaspillage, une utilisation judicieuse des items de protection individuelle.

Vous avez des questions?

Consultez le questions-réponses : masque N95 – employés et médecins.


Inscription aux prochaines séances de Fit-tests

Vous devez vous inscrire à l’une des prochaines séances de Fit-tests offertes par le CISSS. Pour ce faire, communiquez avec :

  • Jardins-Roussillon : Sophie Sirois-Perras, 450 699-2425, poste 2438;
  • Suroît et Vaudreuil-Soulanges : Kim Meunier, 450 371-9920, poste 2019;
  • Haut-Saint-Laurent : Natacha O’Connor, 450 829-2321, poste 3226.

Baisse considérable de l’inventaire des uniformes dans nos installations : un rappel s’impose!

Cela fait déjà plusieurs mois que nous avons remarqué une baisse considérable de nos réserves d’uniformes dans nos installations.

Il est important que le personnel et les médecins ne rapportent aucun uniforme à la maison. Ceux-ci doivent rester sur les lieux de travail. Des rappels aux équipes ont été faits, mais l’inventaire continue de descendre. 

Rappel des consignes concernant l’uniforme fourni par le CISSS

  • Revêtir l’uniforme à l’arrivée sur le lieu de travail et de le retirer à la fin du quart (avant de quitter);
  • Disposer de l’uniforme souillé en utilisant les paniers prévus à cet effet et donc, de ne pas repartir au domicile avec celui-ci;
  • Laisser le soin de l’entretien de celui-ci à notre équipe de la buanderie-lingerie;
  • Ne pas se faire de réserve d’uniformes, car cette pratique nuit non seulement à la gestion de nos inventaires, mais peut également brimer nos collègues qui pourraient manquer d’uniformes à leur taille.

Afin de maintenir un niveau d’inventaire stable et suffisant pour tous, nous vous rappelons que l’utilisation judicieuse de nos ÉPI, dont l’uniforme de base, est essentielle.

Pour en savoir plus sur le plan de contingence : Plan de contingence en cas de pénurie d’ÉPI – COVID-19

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