Le non-respect des consignes et des mesures de protection apporte des conséquences graves dont plusieurs éclosions actives.

Parce que personne ne souhaite être responsable d’avoir compromis la santé d’un proche, d’un collègue ou d’un usager : voyez-y.

En tout temps au travail, en pause et à la maison, vous devez respecter les mesures de protection en place pour limiter la propagation de la COVID-19. 

Même si tu as lavé tes mains.
Même si tu viens de terminer ton repas.
Même si tu t’en vas chez vous.
Même si tu as eu la COVID-19. Tu dois porter tes ÉPI

C’est obligatoire. C’est comme ça qu’on va en venir à bout.

Des rappels, des rappels et encore des rappels 

• C’est votre responsabilité de prendre les mesures qui s’imposent pour votre santé et celle des autres;
• Le port de l’équipement de protection individuelle reste une obligation, et ce, pour TOUS les employés et les médecins;
• Parce qu’on a besoin de vous pour freiner la propagation du virus : si vous êtes témoins d’une situation à risque, n’hésitez pas à intervenir et à rappeler les bonnes mesures à appliquer;
• Vous devez rester courtois avec ceux qui interviennent lors du non-respect des mesures en place;
• Pour les rappels complets, visitez la page intranet sur les mesures de protection.

*Des problème pour vous connecter à intranet? Vous pouvez communiquer avec Sophie Sirois-Perras au 450 699-2425, poste 2438 .

Lors du non-respect des mesures

Vous le savez, la bonne utilisation des mesures de protection, ce n’est pas juste au travail qu’il faut l’adopter. C’est aussi dans votre vie de tous les jours!

Au travail, c’est en tout temps que vous devez respecter les mesures. 

Sachez que les gestionnaires ont la responsabilité d’intervenir lors du non-respect des mesures. Un avertissement verbal, écrit et même des sanctions peuvent être utilisés lors du non-respect des mesures. C’est pour votre sécurité et celle de la population que nous devons agir. Faut ce qu’il faut!

La loi sur la santé et la sécurité du travail

IMPORTANT : en vertu de l’article 49, par. 2 de la Loi sur la santé et la sécurité du travail, le travailleur a l’obligation de « …prendre les mesures nécessaires pour protéger sa santé, sa sécurité ou son intégrité physique, ce qui inclut de porter les équipements de protection individuelle fournis par l’employeur ». 

Des nouvelles bannières pour s’assurer du respect des mesures Au cours des prochains jours, des bannières autoportantes et des affiches dans les entrées des employés seront installées.  L’objectif est de capter votre attention et de vous rappeler quotidiennement, l’obligation de porter les ÉPI.

On compte sur vous. Si vous, vous ne respectez pas les mesures, qui va le faire?

Vidéo -Témoignage 

C’est maintenant plus qu’une évidence : la pandémie a des impacts sur notre santé et notre bien-être ainsi que sur ceux des personnes qui nous entourent. 

Personne n’y est complètement à l’abri, et ce, qu’il s’agisse d’un collègue, d’un usager, d’un proche ou peut-être même de vous.

Le repérage, c’est l’affaire de tous!

Ensemble, nous pouvons limiter les impacts psychosociaux de la pandémie. Parce que nous côtoyons plusieurs personnes au quotidien; gardons l’œil et l’oreille ouverts avec notre entourage!

Comment savoir qu’une personne ne va pas bien? 

Quels sont les signes qui devraient me mettre la puce à l’oreille?

En cas de doute, je réfère où/à qui?

De nouveaux outils ont été élaborés pour répondre à ces questions et pour faciliter le repérage de la détresse psychologique. 

N’hésitez pas à en faire des copies et à les utiliser dans votre milieu/GMF (avec vos collègues et vos patients)!

Plus nous le ferons et plus nous pourrons limiter la détresse psychologique liée à la pandémie.

• Feuillet : ce que vous devez savoir
• Affiches : sais-tu reconnaître les signes?

Après une résidence en hématologie à l’Université de Montréal, le docteur Robert Bélanger complète sa formation à l’Université John Hopkins en greffe de moelle.

De retour de son fellowship, il entame une carrière universitaire et professionnelle très active au sein de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont où il contribue à développer un centre de greffe de cellules souches de niveau international. Il occupera également plusieurs postes au sein de l’institution, étant entre autres, chef du service d’hématologie et d’oncologie médicale et président du conseil des médecins, dentistes et pharmaciens.

En mars 2000, à la demande de ses collègues, les docteurs François Letendre et Daniel Bélanger, il accepte de venir prêter main-forte à l’équipe d’hémato-oncologie de l’Hôpital Anna-Laberge. Il va si bien s’y intégrer qu’il décide en 2010 d’en faire son lieu principal de pratique.

Sa compétence, son entregent et sa capacité de travail vont en faire un pilier du service et de l’hôpital où il occupera plusieurs postes dont ceux de chef du département de biologie médicale et chef du service d’hématologie et d’oncologie médicale. Il a participé également à différents comités, dont ceux d’examen des titres et de discipline.

Passionné par sa profession, qu’il applique avec rigueur et intégrité, il est aussi et surtout un homme de cœur et c’est ce qui a fait en sorte qu’il a toujours été très apprécié par ses patients, ses confrères et toute l’équipe d’hémato-oncologie de l’Hôpital Anna-Laberge au cours de ces 20 dernières années.

Très soucieux d’assurer la pérennité du centre d’oncologie de l’Hôpital Anna-Laberge, il a travaillé au recrutement de plusieurs jeunes hémato-oncologues au cours des dernières années, ce qui permettra à notre population de continuer à recevoir des soins de qualité dans leur région.

C’est donc avec le sentiment du devoir accompli qu’il nous a quitté à la fin du mois de novembre, avec de nombreux projets en tête pour apprécier une retraite active.

Nous lui souhaitons tout le bonheur possible et la réalisation de ses souhaits les plus chers.

Merci Docteur Bélanger pour toutes ces belles années passées à travailler ensemble!

De toute l’équipe du CISSS de la Montérégie-Ouest

Le Centre d’hébergement Cécile-Godin a été sélectionné pour accueillir une unité régionale pour jeunes adultes polyhandicapés. 

Grâce à ces travaux d’agrandissement de plus de 6 M$, le Centre d’hébergement Cécile-Godin pourra accueillir, dès la fin de l’automne 2021, une clientèle de jeunes adultes présentant des déficiences multiples, notamment une déficience intellectuelle et une déficience physique engendrant des limitations fonctionnelles importantes.

Ce que vous devez sa voir

• Cette nouvelle unité pourra accueillir 10 personnes de la Montérégie afin de répondre à leurs besoins spécifiques.
• Elle sera complémentaire à l’offre de service déjà offerte sur le territoire. À titre d’exemple, les résidents de 18 à 21 ans pourraient fréquenter l’école spécialisée Brenda-Milner de Châteauguay.
• L’ensemble du projet est dirigé par le CISSS de la Montérégie-Ouest, en collaboration avec les deux autres CISSS de la Montérégie.

Pour en savoir plus ou pour suivre l’évolution des travaux : visitez la page sur le projet.

Pour lire le communiqué de presse complet du ministère : cliquez ici.

Vous avez prévu quitter le pays durant vos prochaines vacances? Sachez que le gouvernement (ainsi que notre CISSS) recommande d’éviter tout déplacement non essentiel à l’extérieur du pays.

Voici quelques rappels importants

• La mesure d’isolement obligatoire de 14 jours suivant l’arrivée au pays est toujours en vigueur.
• Le CISSS n’est pas tenu d’accepter une absence de 14 jours à la maison pour la période d’isolement au retour au pays. 
• Avant votre départ, vous avez l’obligation de déclarer à votre gestionnaire tout déplacement à l’extérieur du pays. 
• Chaque situation sera évaluée par le gestionnaire selon certains critères tels que la situation du secteur, le type d’emploi et les besoins du service. Des possibilités pourront être envisagées selon le cas (ex.: téléconsultation).
• Chaque employé/médecin à la responsabilité de réfléchir aux impacts que cette période d’isolement obligatoire peut occasionner à leur équipe de travail.

Il est important de respecter les recommandations d’isolement à la maison, pour éviter la propagation du virus. Faut ce qu’il faut!

Vous quittez le pays?
Éléments à considérer à votre retour :

• L’isolement de 14 jours est obligatoire en vertu de la Loi sur la mise en quarantaine.
• Une personne qui ne respecte pas ces consignes commet une infraction à la loi fédérale et s’expose à des sanctions.
• Si vous êtes à l’extérieur du Canada, vos assurances pourraient ne pas couvrir vos frais de voyage ou vos frais médicaux.
• En tout temps, si vous ressentez des symptômes de la COVID-19, vous pouvez contacter la ligne de dépistage COVID-19 au 450 699-7901, poste 2250.

Les directives concernant le port du masque et le port de la protection oculaire dans nos installations portent encore à confusion. Voici quelques rappels à ce sujet :

Le masque de procédure

👉 Qui doit le porter et quand? 

Tout le monde, dès l’entrée dans nos installations!

Exceptions : les enfants de 10 ans et moins, les usagers dans leur chambre et en milieu d’hébergement avec le concept de bulles.

 
👉 Quand pouvons-nous le retirer?

1. Un employé/médecin qui :
   1. travaille seule dans son bureau ou dans son cubicule,
   2. travaille à 2 mètres ou plus d’un collègue dans un bureau partagé;
2. Lorsqu’une barrière physique se retrouve entre les deux personnes (paravent ou plexiglas);
   Il faut toutefois le remettre si une personne entre dans le bureau ou près du cubicule.
3. En mangeant.
   Le masque doit alors être déposé sur un papier propre. Il faut toutefois le remettre immédiatement après le repas (même si votre pause n’est pas terminée).

La protection oculaire

👉 Quelques rappels importants 

1. Les lunettes de vue ne sont pas considérées comme une protection oculaire sécuritaire.
2. Les lunettes doivent être conformes (pas de clips).
3. Les achats personnels ne sont pas remboursés. 
4. Lorsque le port n’est pas fréquent, priorisez la visière (utilisation judicieuse des ressources).

👉 Qui et quand le porter? 

1. En niveau d’alerte maximale (zone rouge), la protection oculaire doit être portée en tout temps par l’ensemble du personnel et des médecins ainsi que par les proches aidants, et ce, lors de tout contact à moins de 2 mètres d’un usager dans un contexte de soins et services (INSPQ, 2020).
2. En tout temps, le personnel et les médecins devant circuler ou travailler sur une unité de soins/dans un milieu de vie doivent porter la protection oculaire.
3. Tout le personnel, de toutes les directions, de tous les titres d’emploi, doit en tout temps porter la protection oculaire dès l’entrée dans le domicile de l’usager et pour toute la durée de la présence.

Vous doutez d’être toujours à 2 mètres d’un usager? Ne prenez pas de chance! Portez la protection oculaire!

Faut ce qu’il faut!