La Loi 20 a eu plusieurs impacts positifs sur la prise en charge et le suivi des usagers en 1religne. Toutefois, elle a eu un effet collatéral sur la capacité de la médecine générale à assumer les activités d’hospitalisation.
De plus, les départements de médecine générale et de médecine interne ont connu plusieurs départs rendant la capacité d’hospitalisation critique à l’Hôpital du Suroît et à l’Hôpital Anna-Laberge. Le nombre de PREM en deçà des besoins a également eu des répercussions sur l’état d’hospitalisation précaire que nous connaissons.