Politique sur la prise de photos, vidéos et enregistrements sonores par les usagers et les visiteurs

Personne ne veut être filmé à son insu. Il en va du droit à la vie privée et à la dignité. On doit aviser et obtenir le consentement des personnes que l’on prend en photo, en vidéo et même pour un enregistrement sonore.

Pour les intervenants et les médecins : Il existe une Politique sur la prise de photos, vidéos et enregistrement sonores par les usagers et les visiteurs qui vise entre autres à :

  • Permettre la prise d’enregistrements par les usagers lorsqu’une telle pratique est significative pour eux au plan affectif ou utile pour la bonne prestation de soins.  
  • S’assurer que vous puissiez exercer vos fonctions dans un contexte propice à favoriser :
    • les meilleures pratiques cliniques; 
    • le respect des droits des intervenants et des usagers; 
    • une communication et des relations saines avec les usagers et les visiteurs; 
    • l’établissement et le maintien d’un lien de confiance entre les usagers, les visiteurs et les intervenants; 
    • un climat de travail épanouissant.

En résumé

Vous avez le droit de demander à quoi va servir l’enregistrement et où il sera diffusé. Vous avez le choix de répondre ceci :

OUISi vous acceptez : vous pouvez donner votre consentement verbal ou donner votre consentement écrit en utilisant le formulaire joint à l’annexe de la politique. Il est bien important de vérifier le lieu où sera enregistré le contenu (corridor versus espace réservé aux soins, présence d’autres personnes? etc.)
OUI, MAIS…Vous avez le droit de faire un compromis : ex. : on peut me voir, mais seulement de dos ou de côté, etc.Remplir le formulaire joint à l’annexe de la politique pour s’assurer que les conditions sont respectées.   
NONVous avez le droit de refuser en expliquant le motif du refus. Si votre choix n’est pas respecté : Demander le soutien de votre supérieur immédiat;Exiger que soit arrêté l’enregistrement en cours; Remettre à la personne ayant effectué l’enregistrement une lettre, signée par vous ou votre gestionnaire, basée sur le modèle proposé à l’annexe 2 (Avis formel – Enregistrement vidéo ou prise de photographies non autorisé). 
Il ne me l’a pas demandé…Vous pouvez décider que c’est correct. Vous pouvez vous opposer et opter pour l’un des choix plus haut dans la case du NON.

Si le litige demeure : Soumettre une demande d’analyse au Service des affaires juridiques afin de connaître les recours possibles.

Dès le mois de mars, de la sensibilisation sera faite auprès des usagers et de leurs proches. 

Semaine de relâche et services de garde d’urgence – Vous y avez droit!

Saviez-vous que seuls les parents travaillant dans les services essentiels pourront envoyer leurs enfants dans les services de garde scolaires pendant la semaine de relâche du printemps?

Comment s’inscrire?

Du 19 au 28 février, les travailleurs essentiels pourront réserver leur place en service de garde en remplissant un formulaire d’inscription centralisé sur le site de Québec.ca.

Une éducatrice pour 10 enfants

Dans ces services de garde d’urgence, le ratio enfants-éducatrices est réduit à 1 éducatrice pour 10 enfants et le regroupement d’élèves au sein de groupes stables pendant la semaine de relâche sera permis.

Les mesures habituelles entourant la distanciation physique, l’hygiène et la salubrité, la désinfection et le port du couvre-visage ou des équipements de protection individuels continuent de s’appliquer.

« Ce n’est pas le temps d’organiser des activités avec d’autres familles; ce n’est pas le temps non plus de demander à ceux qui ont 65 ans et plus de garder les enfants. »

Premier ministre François Legault
ecole

Masque N-95 : précisions concernant les orientations du MSSS et questions-réponses

Mise à jour 25 février (ajout du questions-réponses)

Nous avons reçu les précisions suivantes sur l’application de la nouvelle norme de la CNESST en fonction des différentes missions des établissements et des milieux de soins s’y rattachant.

Toutefois, nous vous précisons qu’il s’agit d’un document de travail qui pourrait évoluer au cours des prochains jours. 

Tout d’abord, l’application des consignes sur le port du N-95 doit tenir compte de la disposition des cas dans l’environnement physique, notamment le regroupement de 2 cas COVID-19 confirmés et plus dans une zone considérée comme étant une zone chaude selon l’évaluation faite par l’équipe PCI. 

Cette zone peut être une aile, une unité, un étage et, dans des situations particulières, une installation ou un bâtiment au complet (ex : une maison, une RI de moins de 9 places, etc.)

Voici donc les orientations spécifiques du MSSS par milieux :

Missions/milieux Consignes pour le port du N95
Centre hospitalier (CH) sauf urgence 

CHSLD

Centre de réadaptation RI (plus de 9 places) 
Le N95 doit être porté dans une zone déterminée comme étant une zone chaude par l’équipe PCI (en présence de deux cas de COVID-19 confirmés et plus). 

Le N95 doit être porté également dans les zones communes déterminées comme étant une zone chaude par l’équipe PCI. 

Tout le personnel qui se trouve dans une zone chaude doit porter un N95 sauf le personnel qui ne prodigue pas des soins et de services,  (ex. : pour déposer des cabarets/chariots et sortir). Cela inclut  le personnel d’hygiène salubrité qui doivent le porter lors de la présence dans la chambre de l’usager.
Lors de la circulation dans les espaces communs froids, le N-95 n’est toutefois pas requis (exemple : corridor de circulation froid, poste infirmier froid).

Le port du N95 ne s’applique pas en présence de chambres isolées sur plusieurs étages. Dans ce cas, il est recommandé de regrouper les usagers afin d’éviter la présence ponctuelle de cas COVID-19 sur plusieurs ailes ou unités. 

Le port du N95 ne s’applique pas si présence de deux cas de COVID-19 et plus en attente de transfert (24-48h sur une aile/unité après un test positif) à moins que la zone soit considérée comme une zone chaude par l’équipe PCI.
UrgenceLe N95 doit être porté dans une zone déterminée comme étant une zone chaude par l’équipe PCI (lorsque cet aménagement peut être réalisé à l’urgence) et en présence de deux cas de COVID-19 confirmés.

Si présence de deux cas de COVID-19 et plus dans une zone de civières (espace non fermé) qui ne peuvent pas être regroupés dans une zone chaude, le port des N95 est requis dans toute cette zone pour tout le personnel sauf le personnel qui ne prodigue pas des soins et services (ex. : pour déposer des cabarets et sortir) 
Soins à domicile (SAD) RI-RTF (moins de 9 places)Le N95 doit être porté en présence de deux cas et plus de COVID-19 confirmés dans un lieu physique/environnement/ domicile (exemple : unité locative, appartement, maison, lors de la prestation de soins, de services de soutien ou d’assistance personnelle).
Clinique ambulatoire 

Cliniques désignées d’évaluation (CDE)

Cliniques médicales 
Ne s’applique pas. Exceptionnellement, ceci pourrait s’appliquer si déterminer comme étant une zone chaude par l’équipe PCI.
Résidence pour les personnes aînées (RPA)S’applique seulement dans une zone déterminée comme étant une zone chaude par l’équipe PCI et plus particulièrement sur les ailes/unités de soins lorsque celles-ci se retrouvent dans une installation.  

Le N95 doit être porté en présence de deux cas et plus de cas COVID-19 confirmés dans un lieu physique/environnement/ domicile (exemple : unité locative, appartement, maison, lors de la prestation de soins, de services de soutien ou d’assistance personnelle)

Notez qu’ à court terme, aucune pénurie n’est prévue.

Il est cependant difficile pour le moment d’évaluer la situation à plus long terme, car elle évoluera en fonction de la transmission communautaire et de la situation épidémiologique.

Nous avons un inventaire suffisant. Toutefois, afin de protéger notre niveau d’inventaire, il est important de commander la bonne quantité de masques pour une semaine et de ne pas prévoir une réserve excessive ou un surplus non justifié. Nous vous rappelons que, bien que nous n’ayons pas d’enjeux d’approvisionnement, il est important de faire en tout temps, à titre préventif et pour éviter le gaspillage, une utilisation judicieuse des items de protection individuelle.

Vous avez des questions?

Consultez le questions-réponses : masque N95 – employés et médecins.


Inscription aux prochaines séances de Fit-tests

Vous devez vous inscrire à l’une des prochaines séances de Fit-tests offertes par le CISSS. Pour ce faire, communiquez avec :

  • Jardins-Roussillon : Sophie Sirois-Perras, 450 699-2425, poste 2438;
  • Suroît et Vaudreuil-Soulanges : Kim Meunier, 450 371-9920, poste 2019;
  • Haut-Saint-Laurent : Natacha O’Connor, 450 829-2321, poste 3226.

Baisse considérable de l’inventaire des uniformes dans nos installations : un rappel s’impose!

Cela fait déjà plusieurs mois que nous avons remarqué une baisse considérable de nos réserves d’uniformes dans nos installations.

Il est important que le personnel et les médecins ne rapportent aucun uniforme à la maison. Ceux-ci doivent rester sur les lieux de travail. Des rappels aux équipes ont été faits, mais l’inventaire continue de descendre. 

Rappel des consignes concernant l’uniforme fourni par le CISSS

  • Revêtir l’uniforme à l’arrivée sur le lieu de travail et de le retirer à la fin du quart (avant de quitter);
  • Disposer de l’uniforme souillé en utilisant les paniers prévus à cet effet et donc, de ne pas repartir au domicile avec celui-ci;
  • Laisser le soin de l’entretien de celui-ci à notre équipe de la buanderie-lingerie;
  • Ne pas se faire de réserve d’uniformes, car cette pratique nuit non seulement à la gestion de nos inventaires, mais peut également brimer nos collègues qui pourraient manquer d’uniformes à leur taille.

Afin de maintenir un niveau d’inventaire stable et suffisant pour tous, nous vous rappelons que l’utilisation judicieuse de nos ÉPI, dont l’uniforme de base, est essentielle.

Pour en savoir plus sur le plan de contingence : Plan de contingence en cas de pénurie d’ÉPI – COVID-19

Des difficultés pour vous connecter à intranet?
Communiquez avec 
Sophie Sirois-Perras au 450 699-2425, poste 2438.

Mesures additionnelles pour l’application de l’arrêté ministériel 2020-007

La pandémie que nous vivons actuellement au Québec demeure très fragile. La hausse du nombre d’hospitalisations, les éclosions dans les milieux d’hébergement, la campagne de vaccination et la nécessité d’augmenter la capacité d’accueil dans nos unités d’hospitalisation chaudes, les zones chaudes communautaires et les soins intensifs continuent à créer une grande pression sur notre organisation et plusieurs de nos secteurs d’activités sont encore bien fragiles.

La situation nous force à mettre en place des mesures exceptionnelles.

Aujourd’hui, l’ampleur de la situation nous oblige comme organisation à devoir appliquer, de façon temporaire, des nouvelles mesures prévues à l’arrêté ministériel 2020-007. Le comité de direction a donc pris les décisions suivantes :

  • Poursuivre le rehaussement de la disponibilité à temps complet pour les infirmières, les infirmières auxiliaires, les préposés aux bénéficiaires, les auxiliaires aux services de santé et sociaux et les inhalothérapeutes jusqu’au 27 février 2021;
  • MISE À JOUR : De reporter les vacances pour les infirmières, les infirmières auxiliaires, les préposés aux bénéficiaires et les auxiliaires aux services de santé et sociaux, et ce du 10 janvier jusqu’au 27 février 2021.
  • NOUVELLE MESURE :  De reporter les vacances du 31 janvier jusqu’au 27 février 2021 pour les titres d’emplois suivants :
    • Inhalothérapeutes;
    • Aides de service;
    • Préposés à l’entretien ménager;
    • Assistants en réadaptation;
    • Thérapeutes en réadaptation physique;
    • Physiothérapeutes;
    • Ergothérapeutes;
    • Travailleurs sociaux;
    • Techniciens en travail social;
    • Psychoéducateurs;
    • Éducateurs;
    • Techniciens en éducation spécialisée;
    • Kinésiologues;
    • Orthophonistes;
    • Audiologistes;
    • Nutritionnistes.

Augmentation du nombre de lits en zone chaude

Comme vous le savez, compte tenu de l’augmentation des cas dans la population, le MSSS a récemment demandé à tous les établissements de santé et de services sociaux d’augmenter leur capacité d’accueil pour de possibles cas COVID nécessitant une hospitalisation. Pour ce faire, c’est 15 lits d’hospitalisation en zones chaudes et 5 lits de soins intensifs COVID qui s’avéraient nécessaires dans notre établissement, et ce, en plus d’une aire de confinement communautaire supplémentaire.

Des équipes mobilisées

Il va sans dire que l’organisation du travail de l’ensemble de ces ajouts a tenu rigoureusement compte des mesures de prévention et de contrôle des infections. Médecins, infirmières, membres des équipes de soins, professionnels, gestionnaires, etc. font une réelle différence en contexte de pandémie. Chacun déploie des efforts immenses et constants afin de prendre soin de cette clientèle très malade.

Ouverture d’une aire de confinement communautaire à Laurent-Bergevin

Pour assurer une capacité accrue et du soutien additionnel aux RPA de notre territoire, une 2e aire de confinement communautaire a été ouverte le 12 janvier dernier au Centre d’hébergement Laurent-Bergevin. 

Cet aménagement dédié peut répondre autant aux besoins des résidents du Centre d’hébergement Laurent-Bergevin qui obtiendraient un résultat positif au dépistage de la COVID-19 ainsi qu’aux autres usagers du territoire du CISSS de la Montérégie-Ouest. L’objectif étant de prévenir et de restreindre la propagation de la COVID-19.

Félicitations à tous ceux ayant participé à la mise en place de cette aire de confinement qui permettra d’accueillir un total de 27 personnes. 
Rappelons qu’à l’automne dernier, la Direction du programme Soutien à l’autonomie des personnes âgées (DPSAPA) a mis en place une aire de confinement communautaire au Centre d’hébergement de Châteauguay afin d’offrir un hébergement temporaire aux personnes infectées de la COVID-19 ayant un profil gériatrique et qui ne peuvent demeurer ou retourner à domicile de façon sécuritaire.

Un guichet d’accès 

Le guichet d’accès de l’Aire de confinement a été mis sur pied afin de faciliter les démarches et rendre l’accès plus simple. Pour tout savoir sur le guichet d’accès de l’aire de confinement communautaire, consultez l’aide-mémoire suivant.

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Déploiement de 5 lits COVID aux soins intensifs de l’Hôpital Anna-Laberge

5 nouveaux lits COVID ont également ouvert aujourd’hui (18 janvier) au niveau des soins intensifs. Rappelons que ceux-ci avaient déjà été adaptés et réaménagés dans le cadre de la première vague de pandémie, et ce, afin d’accueillir (au besoin) des patients soupçonnés ou diagnostiqués COVID + . 

De leur côté, les lits de soins intensifs froids ont été relocalisés dans la salle de réveil du bloc opératoire qui, rappelons-le, a récemment vu diminuer ses activités à la demande du MSSS en lien avec le report de certaines chirurgies. Les 2 services partageront donc temporairement les mêmes espaces. Une chambre d’intubation a aussi été érigée dans les locaux de la chirurgie d’un jour (attenant à la salle de réveil) pour respecter les recommandations en lien avec les IMGA.

Un total de 6 lits de soins intensifs froids a pu y être aménagé en quelques jours seulement, et ce, grâce à la mobilisation de tous.

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Salle d’intubation (chirurgie d’un jour)
Chambre de soins intensifs froids
Nouveaux aménagements (salle de réveil)
Membres des 2 équipes (soins intensifs/salle de réveil)

Ouverture de la zone chaude au 3A de l’Hôpital du Suroît

Comme notre CISSS compte actuellement 30 lits dans la zone chaude de l’Hôpital Anna-Laberge, l’augmentation demandée par le MSSS nous a amenés à organiser l’ouverture d’une zone chaude additionnelle, cette fois-ci comptant 15 lits. Cette zone chaude est située au 3A de l’Hôpital du Suroît. Rappelons que cette unité avait accueilli, lors de la première vague, des patients atteints de la COVID jusqu’en juillet dernier.  

Grâce au travail acharné de l’ensemble des secteurs concernés par un tel ajout, l’unité chaude du 3A a été déployée en un temps record et accueille donc, depuis le 11 janvier

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La zone chaude à l’Hôpital du Suroît est munie d’un corridor froid destiné à la circulation.

De gauche à droite : Marie-Eve Cyr, infirmière clinicienne, Élise Sirant Dangleant, infirmière, Philippe Besombes, directeur général adjoint santé physique et Marie-Pier Choquette, chef d’unité 3eB Médecine-Pédiatrie

Semaine de prévention du suicide : un touchant témoignage d’un médecin de chez nous

Cette semaine a lieu la 31e Semaine nationale de prévention du suicide (31 janvier au 6 février).

Pour l’occasion, Dr François Loiselle, obstétricien-gynécologue à l’Hôpital Anna Laberge, tenait à partager son expérience et comment il voit les choses.


Où en sommes-nous, où j’en suis?

« 26 janvier 2021, au lendemain de ma garde de 24 heures à l’hôpital. Je suis fatigué, évidemment. Pas parce que j’ai eu une grosse nuit, mais parce que je dors mal sur mes gardes, même si elles sont tranquilles. L’anxiété probablement; encore une fois. Elle m’empêche d’ailleurs souvent de bien dormir, même à la maison.

J’ai découvert un peu avant la pandémie que ça me causait de sérieux soucis; insidieux et progressifs. Ça s’immisce tranquillement dans ta vie… Heureusement, des gens autour de moi l’ont vu; beaucoup plus que moi d’ailleurs. Moi qui a un tempérament si calme, IMPOSSIBLE!

J’ai eu de la chance. J’ai eu de l’aide : ma famille que j’aime tant, Luc (mon médecin de famille), Anne (ma psychologue), mes collègues de travail qui m’ont donné du temps et soutenu dès le moment où je me suis ouvert à eux, toutes les autres personnes que je côtoie quotidiennement et qui, souvent sans le savoir, contribuent à mon bien-être par leur écoute, leur gentillesse, l’expression de leur résilience face à l’adversité que nous traversons tous ensemble…

C’est aussi grâce :

  • au don de soi de Marie-Ève, infirmière des soins intensifs, qui a tellement bien accompagné un patient jusqu’à son dernier souffle en lui fredonnant de douces mélodies;
  • à Emmanuelle qui, par son dévouement et sa gentillesse, a grandement contribué à rendre meilleur le cheminement vers son congé d’une patiente hospitalisée à l’urgence;
  • à Sylvia, Annie, Garie, Coralie, Linda et toutes mes autres collègues infirmières de la salle d’accouchement qui ont contribué à rendre inoubliable la naissance d’enfants de parents comblés.

Ça fait du bien à l’âme, ça donne confiance en la vie!

À ceux et celles qui se sentiraient dépassés, fatigués, à bout, s’il vous plaît : faites-vous aider.

Tout passe, semble-t-il. Toutefois, avec l’aide d’amis, de collègues ou de ressources spécialisées; les difficultés pourront être franchies peut-être plus aisément.

Tous ensemble, unis comme une vraie équipe. »



Nul n’est à l’abri de vivre de la détresse à un moment ou à un autre de sa vie. Cela est aussi vrai pour les médecins, infirmières et autres travailleurs du réseau; pandémie ou pas.

Pose-toi la question. Et toi… comment vas-tu aujourd’hui?

De l’aide existe! Oseras-tu en parler ou demander de l’aide au besoin?

  • Programme d’aide aux médecins du Québec : 514 397-0888
  • Programme d’aide aux employés (PAE) – (24 h sur 24, 7 jours sur 7) : 1 866 863-1486
  • Ligne québécoise de prévention du suicide : 1 866 APPELLE (277-3553)
  • Centres de crise et de prévention du suicide (24 h sur 24, 7 jours sur 7)
    • La Maison sous les Arbres au 450 699-5935 (Châteauguay)
    • Le Tournant au 450-371-4090 (Suroît)
  • L’ordre des psychologues du Québec : 514 738-1223
  • Boîte à outils Bien-être psychologique*
  • Un ami…

Pour en savoir plus sur les signes de détresse psychologique.

*Des difficultés pour vous connecter à intranet?
Communiquez avec 
Sophie Sirois-Perras au 450 699-2425, poste 2438.